Salut,
bien entendu chaque chantier demandera un devis différent mais
En grande ligne ...
Prix du m³ chez nous 15€ (prix départ)
Donc pour un épandage ( couche de +- 10cm ) = 1,5€/m²
Brouette de +- 1/3m³ épandage (forfait 20min/m³) = 35€ = 3,5€ m²
Donc 5€ m² ( base ) Hors taxes
+ frais de déplacement
+ supplément manutention autre que chenille
Prix valable a partir de 30m²
Pour accord
(signature)

Salut!
Je me répette mais bon:les chenilles tasses moins que les pneux.
A savoir:on adapte le matériel a utiliser,en fonction du travaille à effectuer et des chantiers.
Pour l'elphe:tu peux en ex compter faire 100m2 jour de paillage,épaisseur 10cm,sur de petites plantations,avec copeaux proche de l'endroit à pailler.

Bien entendu, selon la configuration du chantier et les demandes du client on peut utiliser d'autres techniques.
Le chargeur n'est pas obligé de décharger pil poil sur les racines   

Ensuite il faut pas oublier que le tassement du sol dépend de nombreux paramêtre, ne pas faire cela quand le sol est détrempé, ne pas cumuler les passages ( ne pas faire de passage ou de manoeuvre inutile ) etc..

Perso, je ne pense pas qu'un petit chargeur compacte, correctement utilisé provoque un tassement conséquent.



Pour info :
http://www.claas.fr/countries/generator/cl-pw/fr/services/fachschulservice/terra_trac/details/start,lang=fr_FR.html

Bonjour

Le BRF n'étant pas normalisé et les modalités d'emploi pas encore très fixées, c'est extr^mement difficile de donner un prix.
Le BRF frais de feuillus d'essences diverses, c'est un sous produit qui , malgré sa valeur agronomique, est très difficile à valoriser économiquement: ne se conserve pas, cout du transport / épandage dépassant largement sa valeur.
Je propose toujours une utilisation sur place chez le client, en paillage la plupart du temps. Dès qu'il faut transporter pour épandre ailleurs, ça se complique...
Un exemple: j'ai broyé une journée, le client a paillé lui m^me ses massifs et je devais enlever le surplus: un contre temps et la neige, je reviens 15 jours plus tard:  l'aspect du broyat à complètement changé dans les tas, impossible d'avoir le rendu esthétique obtenu avec du broyat frais... J'ai du l'utiliser chez moi pour recouvrir des allées et pailler des fruitiers alors que je comptais pailler des massifs chez des clients.
Comme c'est difficile de synchroniser parfaitement les chantiers pour avoir un produit frais de qualité, c'est donc utilisation immédiate sur place, utilisation personnelle immédiate ou différée, utilisation en vue de réduire des couts ultérieurs d'entretien sur contrats déjà existants, mais je n'envisage pas de commercialisation de BRF.
Je pratique des paillages de déchets végétaux depuis longtemps, je pensais que le BRF tiendrai mieux dans le temps, mais avec les étés humides qu'on a eu , le sol l'a absorbé en moins d'un an ( 3 à 5 cm ), il faudrait donc en ramener régulièrement...  ce que je considère injustifié sur sol équilibrés: pas la peine de les "surnourrir"
Pour l'épandage, j'utilise des brouettes maraichères à ridelles hautes, ou des poubelles et un diable, chargement à la pelle à grille.
Je préfère des apports fractionnés: moins de faim d'azote, on peut s'adapter aux besoins du sol, à ses capacités de décomposition.

Bonjour

une des actions la plus intéressante du BRF , c'est la décompaction des sol, par la vie biologique . Donc pas d'intér^t à le faire avant.
En mettant des couches différentes, on peut mieux imiter une litière forestière naturelle: éléments fins dèjà partiellement décomposés en bas (que l'on peut imiter par du compost, du BRF ou des feuilles en voie de compostage etc...) et des éléments plus grossiers en surface qui assurent une protection contre les éléments, avant d'être recouverts et décomposés à leur tour.
Celà permet aussi de faire du compostage de surface ( la meilleure méthode d'enrichissement et de mise en culture des sols selon moi ) en conservant un aspect esthétique: exemple débris végétaux frais broyés recouverts de copeaux de bois. Cette méthode est très efficace, et permet la culture sans engrais sur des sols pauvres, même très secs.
Dans le cas des arbres, il faut estimer si le couvert végétal herbeux est en concurrence ou en symbiose avec le système racinaire, si le sol a besoin d'être nourri et protégé , l'apport de BRF n'a pas à être systématique.