je me renseigne beaucoup sur les habitations, un forum que je trouve interessant : futura science j'arrive pas à mettre le lien, pour le sedum, met pas que ça (pourquoi biosedum ?)

Je ne sais pas exactement d'où tu viens GAB mais si tu veut des renseignement béton par un passionné, essaie de rentré en contacte avec MR Renault, Patron en retraite (si je ne dit pas de sotises) des pépinières Renault situé en Mayenne ayant déposé pas mal de plantes.... (hydrangéa vanille fraise par exemple). Il produit et vent sur commandes des végétaux pour cet utilisation !!

Voici les vagues souvenirs d'une visite que nous avions effectué dans la pépi a l'école...

ce qu'il faut avant toute chose c'est faire une estimation de la resistance du toit sur lequel tu veux implanté des vegetaux ! en kg/m2 car une toiture completement vegetalisée et mouillée (pluie/arrosage) ça peu etre tres tres lourd !

c'est un pote couvreur qui m'expliquais ça l'autre jour !!!

d'abord connaitre la resistance du toit et apres le poids de ton installation au m2.

Salut,

Baptiste et Grégory ne pas confondre mur végétal et toiture végétalisée...c'est pas pareil.

Pour les toits végétalisés ce procédé est interessant pour les toits à faible pente ou les toits terrasses j'ai un projet de cet ordre (qui date de 10 ans) pour le toit terrasse de mon futur garage de 45 m2 environ.....faut que je le fasse! faut que je le fasse!...etc....

C'est la "sphaigne", une mousse qui pousse sur des sols plus ou moins noyés (cuvettes et anciens lacs glaciaires remblayés, dépressions de fond de vallées séparées de la rivière par l'accumulation d'un cordon de sédiment) .
Elle constitue souvent la majeur partie de la tourbe, pouvant s'accumuler sur d'énormes épaisseurs. La tourbe est en fait son "cadavre", résultant de sa décomposition très incomplète à cause du milieu asphyxiant.

Non dégradée, c'est une vraie éponge. Comme beaucoup de mousses d'ailleurs (sinon toutes), mais son grand développement la rend bien plus aisément manipulable.


Marc-Antoine

Je ne connais pas les cultures sans sol (ou presque) en toiture, mais seulement 10 cm de terre pèsent facilement 120 à 150 kg par mètre carré quand c'est mouillé. Cela fait très vite grimper la charge sur la bâtisse.
Charge à la quelle il faut bien-sûr ajouter la pression du vent, le poids de la neige et d'un éventuel intervenant, mais ça, c'est du classique.