La taille pourrait être considérée comme hivernale, à la suite du flétrissement et chute des feuilles donc......

Sauf que là, effectivement ,l'arbre anticipe pour limiter l'évapotranspiration ,mais le soleil doit taper encore un mois et du coup les feuilles d'ombre vont être encore plus exposées à la lumière si tu tailles .

Ensuite et c'est là le pire peut être, c'est toute la zone de nouvelles pousses qui est touché depuis plusieurs années.....et donc les supprimer ,je ne sais pas.

Je me contente de faire du nettoyage en ce moment, mais comme tu dis , j'ai ralentis la cadence ,je reprends vraiment la semaine prochaine en espérant des températures à venir normales.

Salut doume ,aux RRA peut-être .

Normalement ,les RRA Sud-Ouest se feront à Alemans du drop 47 en octobre, j'ai paumé les dates.

Ha oui, 2 fautes quand même.......désolé pour ta jeunesse   

Vu l'activité du forum, on peut être    .....
Du coup, doume ,  les RRA sont le 9,10 et 11 octobre à Allemand pour les Germains du Drop pour l'ovalie..... 

doume a écrit:

Salut, sujet pas abordé il me semble, j'aimerai avoir vos avis.

Constatant les effets de la canicule, stress hydrique de plus en plus sévère  ces derniers temps, la sécheresse sévie.
Je constate déjà depuis quelques temps, des feuilles pendantes et parfois rabougries, avec même des groupes de chênes souvent en lisière, présentant un feuillage entièrement cramoisi; comme si l'automne était déjà là, mais en moins joli quand même.
Alors voilà, depuis la canicule de 2003, qui elle avait plus sévère, puisque c'était l'ensemble des bois qui avait été touché ( surtout par chez moi dans le tarn), j'avais stoppé, et je stoppe  toutes idées de taille, pour ne pas infliger de stress supplémentaire à cette pauvre végétation.
Alors ai-je raison, (bon en même temps j'ai une bonne excuse pour pas travailler), ou alors une taille légère qui supprimerait du feuillage
aurait pour effet de limiter la transpiration, donc pourrait être bénéfique pour la végétation.
That  is the question...

Le manque d'eau est perturbant mais il faut peut-être y voir une conjugaison de facteurs :
- comme la virulence des maladies cryptogamiques (l'oïdium aime bien le chêne),
- les descentes de cimes qui sont parfois les conséquences directes du stress hydrique combinent aussi la présence d'un champignon,
- pour finir on peut aussi se demander si le manque d'eau ne ralentit pas la réactivité des sujets. Je pense à la cavitation qui entrainerait des difficultés à véhiculer certaines hormones comme les auxines.

Pour répondre à Maître Doume du Tarn (pas loin des Corbières) : "laisse les tranquille ! Fais le bois sec ou fais la sieste !"         

PS: pour les RRA, il ne me sera pas possible de me libérer...dommage !