Pas facile de répondre à ça.
Il faudrait voir le détail des normes.

Les normes pour chaque type d'activité ont dûes être établies en fonction des spécificités de l'usage prévu, de la probabilité et de la gravité des risques liés à l'activité. Mais ce sont obligatoirement des compromis entre niveau de protection, coût et facilité d'usage : un casque intégral de moto devrait assurer une assez bonne protection contre les chocs en élagage, mais il est impossible de travailler avec (chaleur, poids, encombrement, champ de vision ...).
Après, les tests et leurs paramètres sont définis pour obtenir un parallèle entre le comportement en labo et sur le terrain.
Ce parallèle est éventuellement très approximatif (test anti coupure par exemple) mais il faut surtout que les essais soient reproductibles par n'importe quel laboratoire.

Dans le premier lien :

Des normes donnant présomption de conformité aux exigences de sécurité de la directive ont été élaborées par type de casque : moto, cyclisme, équitation, ski, etc.. imposent aux casques mis en vente une série d’essais, tels que :

    * des essais d’absorption des chocs,
    * des essais de résistance à la pénétration,
    * des essais de résistance à la déformation,
    * des essais de tenue à l’arrachement de la jugulaire (sangle qui passe sous le maxillaire inférieur pour maintenir le casque).

Donc il y a forcément moyen d'être d'un avis différent à propos
- des positions déterminées initialement (selon son propre usage et les niveaux de risques réels)
- des détails pratiques des tests qui devraient être sensés coller au plus près de la réalité du terrain.

On pourrait donc avoir la possibilité de "faire son marché" dans toutes les applications normalisées en fonctions de ses besoins.
Mais il y a un souci : est-on à même de pouvoir définir personnellement de façon objective et pertinente le niveau de protection requis?