salut pédro,
si tu ne trouve rien a t'es différents examens, tu a raison c'est surment une contraction musculaire qui est du a une mauvaise position(dos rond a l'abattage par ex). le gros problème c'est que ont le fait tous et que l'ont change nos habitudes une fois le mal installer  .
revois t'es gestes et peut être ça iras mieux pour toi. je te dit ça mais moi même j'ai bien du mal a les adopters  . remet toi bien

j'ai un peu la meme chose je le rescent surtout lorsque je brasse du sable, du béton etc  à la pelle et en abattage en foret

j'utilise depuis 1 an une ceinture lombaire pour ce genre d'effort et depuis je rescent beaucoup moins de douleur. Souvent les douleurs apparaissent avec l'humidité. dernier truc toujours avoir le bas du dos bien couvert car le froid n'arrange rien. sinon contact un kiné pour qu'il te muscle cette partie des fois cela suffit

Dans beaucoup de cas, les muscles et leur système de commande réflex sont en cause. C'est une forme d'excès de zèle et la réaction développée est exagérée par rapport à ce qui serait juste nécessaire. Un peu comme l'allergie.
Le problème, c'est que tant que l'on n'a pas mal, on ne fait pas attention à tous ses mouvements, même avec une longue expérience dans ce domaine. Car si on peut assez souvent déterminer le geste qui déclenche la crise (mais en pleine nuit ce n'est pas gagné), on fait rarement attention aux gestes et postures qui préparent la venue de la crise.

J'ai constaté que toutes les situations qui débouchent sur le maintien prolongé d'une position sont un excellent préalable. "Prolongé" peut signifier aussi bien quelques secondes dans une position anormale, que de longues minutes voir des heures dans une position a priori correcte voir confortable.
Quelques exemples perso :
- tailler une haie très large sur un escabeau, longs porte à faux.
- réduire une haie de lauriers par l'intérieur, en grimpant sur de longues tiges flexibles sans pouvoir s'encorder (position droite, mais cramponnée en permanence).
- courbé au dessus d'un étau pour un travail assez statique, long et délicat.
- assis - vautré dans une chaise ou canapé, le dos doit maintenir un pont entre l'assise et le dossier
- "coincé" la nuit sur le bord d'un lit creux dont le centre est occupé par sa chère et tendre que l'on ne veut pas déranger. (si elle lit ça, elle va dire que je n'ai qu'à me coucher en même temps qu'elle  , mais c'est pareil)

La fatigue normale liée à un travail en mouvement mais près du sol  (ébranchage billonnage, débroussaillage à la tronçonneuse) peut conduire à un état similaire (quant au risque) mais en ce qui me concerne, cette fatigue là est très transitoire donc plus facile à gérer.

Dans un muscle, c'est la décontraction qui consomme de l'énergie, pas la contraction comme on pourrait le supposer. Energie trop faible = crampe, énergie à zéro = raideur cadavérique.
Lors d'une contraction musculaire statique moyenne, les fibres musculaires se relayent en permanence pour permettre aux voisines de se reposer. Si on en fait trop, les muscles fatiguent (baisse de l'énergie disponible) et la régulation de la contraction commence à yoyoter. La détente fonctionne moins bien. Le dos devient "raide".
Tant que tout ne s'est pas bien reposé, et ça peut s'étaler sur plusieurs jours au final, le système ne sait plus où est sa position de référence. Il se cramponne pour éviter de se faire "surprendre", puisque sa fatigue l'empêche de réagir avec la vitesse voulue. Mais c'est au prix d'une fatigue accrue et d'une contrainte supplémentaire sur la structure. Le cercle vicieux.
Là, danger !
Le moindre geste inapproprié, le geste con, dépasse la capacité de réaction fine et déclenche l'alerte rouge. La zone musculaire concernée se contracte de toute sa puissance pour bloquer le mouvement en cours. La force développée est telle qu'elle surcharge la structure porteuse à la limite de sa résistance et provoque cette violente douleur. Douleur qui à son tour vient renforcer l'état d'alerte et verrouille le blocage.
Le corps répond après aux dégâts par une réaction inflammatoire. C'est un phénomène de défense qui est nécessaire au processus de réparation, mais il ne favorise pas le retour au calme dans le secteur.

Quand une crise arrive, il faut d'abord calmer le jeu à tout prix et favoriser la décontraction.
Cela ne sert à rien de vouloir se battre contre ça en se faisant violence. Donc repos + chaleur + médoc (anti-inflammatoire et décontractant musculaire) si nécessaire.
Dès que l'on peut bouger sans douleur, il faut se déplacer, mais en faisant extrêmenent attention à ses mouvements et à son environnement. C'est la seule façon pour que le corps retrouve ses repères et ses équilibres musculaires rapidement.
Privilégier la station verticale, dos bien droit, contraintes minimales sur la colonne. On ne se penche pas pour attraper ou ramasser quelque chose, les jambes plient pour descendre les mains.
Pour se redresser et sortir du lit, se lever de table, des wc, ce sont les bras qui travaillent en prenant appui sur tous les supports possible ( genoux et cuisses y compris). Le dos est en vacances, considère que c'est un bout de bois !

Mais surtout, surtout,  pas de chocs ou de mouvements inattendus (poignée de porte qui dépasse, coin de table, "bisou" du chien, seuil, trou dans le sol ou motte d'herbe...).

Cela, c'est pour la sortie de crise. La souplesse dans les mouvements revient spontanément quand la situation se normalise, on n'y fait même pas attention.
Par contre il est intéressant de garder en mémoire ses mouvements un peu bizarres pour "quand ça va bien", pour travailler, lever des charges, se lever tout court...
Sans être aussi rigide, cela aide à adapter sa façon de bouger pour réduire les outrages que l'on fait subir à son dos.

Bon courage.

Pas facile comme question et je crains de sortir une ânerie, surtout que ce n'est pas mon dos.
Si les muscles sont trop faibles et/ou insuffisamment entraînés, il est certain que leur domaine de fonctionnement normal est facilement dépassé lors d'une sollicitation exagérée et ils sont plus vite poussés en limite de leur capacité.
D'un autre côté, j'ai un peu de mal à croire que la musculature puisse être considérée comme insuffisamment entraînée avec notre métier.
Mais je me trompe peut- être, et surtout, je n'ai aucune idée du gain que l'on peut obtenir avec des séances de musculation adaptées (par rapport à nos activités et efforts).


En ce qui concerne la ceinture de force, mon sentiment est assez mitigé.

Je la vois bien comme une aide ponctuelle, un renfort lors de sollicitations "extrêmes".

Par contre, je suis beaucoup moins chaud pour s'en servir en permanence.
Je crains qu'elle soit un désavantage à moyen / long terme. Car si elle est efficace, elle supporte continuellement une part des contraintes, part que ne ressent plus le corps: Perte d'une partie du signal "effort" et modification de la répartition des contraintes sur sa structure.
D'une part, il s'habitue à ce nouvel équilibre et il le prend comme référence (quid quand on ne porte pas la ceinture pour une fois ?).
D'autre part, pourquoi voudriez-vous que le corps entretienne à grand frais un dispositif qu'il considère comme sur-dimensionné par rapport aux sollicitations qu'il perçoit. Regardez ce qu'il se passe en cas de fracture : la fonte musculaire qui accompagne l'immobilisation est saisissante. Idem en cas de vacances: un mois sans grimper et vous vous retrouvez un peu faiblard à la reprise.
Vous pouvez trouver un bon parallèle avec les réactions de l'arbre face à un haubanage statique ou dynamique (encore que l'arbre n'affaiblit pas sa structure si les contraintes baissent).

désolé forest, mais le vtt, c'est pas trop recommandé.......

salut pedro as tu passer un scanner pour voir si ce n est une hernie ????
mais si tu as mal au dos c est que tu te baisses trop pour ramasser les billets de 500 euros hahah

moi aussi mal au dos donc kiné osto trop cher haha