Bien le bonsoir

Avec ce sessile tu ne risque pas de faire des meubles, il y a rien à en tirer a part quelque madrier pour une table très rustique, le premier « 1,50 mètre» est très grossier est les charpentières sont trop proches.  Ou des tables rondes

Il faut toujours ce méfier des clous et autres couillonades en fer, les scies a rubans n’adorent pas du tout et a la sortie cela fait très cher avec le transport aller retour pour rien.

Sans compter que dans le secteur ils ne sont pas très nombreux ceux qui prennent des diamètres similaires

Il va te servir le livre, tu ferais mieux même de l’acheter il te sera fort utile pour reconnaître les Chênes, mais je viendrais, il faut que je dénude une racine il y a un petit truc qui me chiffonne, Beatrice est resté trop discrète !

Bonne soirée

Salut,

doume a écrit:

mmhhhh, je l'ai sur un bouquin, surement similaire, mais celui-çi a  la feuille  beaucoup plus ronde

Il faut se méfier du polymorphisme foliaire...difficile d'identifier ce type de chêne uniquement avec la feuille,si tu es sur que le gland n'est pas pédonculé c'est déja beaucoup!

J'aime bien la photo (qui est de toi celle là) ou l'on voit ta nymphe sous les tentacules du grand et beau chêne...ça m'inspire 
A+

le beauceron a écrit:

Est ce que l'isolement de ce chêne au cours des décennies pourraient être  aussi un des acteurs de son déclin ?

surement, sa situation en plein vent ne plaide pas pour lui
ne pouvant se reposer sur une litière, comme un arbre en forêt
pourtant sur le temps  que je le connais, je l'ai jamais vue décliné

l'important est de se questionner et tout diag est complexe

c'est pas de moi     
galère les diags par internet, sans voir vu l'arbre, non ?

Bien le bonsoir

Presque bon

Il n’aurait jamais du aller si loin, de plus tout le secteur n’est absolument pas propice pour un sessile

C’est un mauvais choix des le départ

Avant l’agrandissement de la route les remblaiements des talus, les petits plus du fermier pas loin, il y en a des raisons  le chemin de fer avec ces modifications de terre pour qu’il soit a niveau ; la nappe en dessous en hiver très haute qui nuit au système racinaire sur plusieurs semaines en continue et a sec ensuite sur une période de plus en plus longue Etc.

L’on prend une racine, pas besoin d’aller profond l’on fait une section et l’on analyse aussi quelques radicelles, vous vous en souviendrais pendant longtemps.

C’est dommage de le faire que maintenant, le faire même un mois âpres c’est impressionnant l’on à l’impression qu’une partie de ces racines sont sèches depuis longtemps, il a épuise la totalité de son énergie stocké depuis des lustres.

Le voir avant ce n’est pas si facile, mais un contrôle tous les trois a quatre ans pour des cas remarquable en prévisionnel! ! !, mais personne veut investir avant comme je fais sur certains oliviers remarquables en prévention. « C’est bien dommage pour la profession des expert »
Car cela pourrait en être autrement.

Cordialement

Salut,

Sur les photos de Doume on voit bien les trous des grands capricornes (Cerambyx cerdo),depuis un mois j'en vois beaucoup dans mon bled,quel bel insecte! en aucun cas c'est lui qui aurait affaibli l'arbre.

Comme le disent si bien Edy(olei-cilvi) et Sisley c'est dommage de ne pas suivre un bel arbre comme ça...mais bon!
La région de Doume est une région en limite de "zone méditerranéenne" et le Quercus petraea n'est pas du tout présent en zone méditerrannéenne.
Un lien sur les changements climatiques:
http://sylvain-delzon.com/wordpress/www … biogeo.ppt

différentes causes qui font que le végétal subit des attaques

climat
végétaux inadaptés chaleur / froid / vent sec / sècheresse / pluviométrie
sol
mauvaises structure du sol / ph / humus instable ou inexistant
micro-faune pauvre / pollutions diverses
mal planté
porte-greffe
zone géo-pathogène
végétaux traumatisé.

L’on prend une racine,

une idée a creuser  OléiculteurCiviculteur, allons voir si il reste du sucre