merci arbo'réal  , et comme j'ai pris un coup de soleil à la journée de Steph hier  , je m'en vais partir en life pour le plaisir : désolé!
quand on va chez un client, c'est comme monter sur un tatamis , c'est le talent et l'engagement qui va faire la différence! avant de pouvoir exprimer son savoir faire sur l'arbre, il faut acquérir le client à sa cause et cela se fait au pied de l'arbre et au bureau dans le devis et les annexes sinon c'est le tawaneur du coin qui va vous prendre l'histoire.
Comme nous guide si bien l'Elphe avec  son regard sur l'arbre, avant d'aller à l'essentiel (ce pourquoi on est là) on se doit de recadrer l'arbre dans son environnement et son rapport avec son propriétaire : n'oublions pas que l'homme considère l'arbre comme un immeuble et un bien de consommation pour son agrément! avant de parler techniques, le discours prend vite des allures philosophiques et sociologiques avec le client
Comme disait le Grand Shigo : si vous voulez convaincre un client, parlez lui d'abord de ses roses et de son jardin, et après vous lui parlerez de ses arbres! il a tout dit!
bon, je vais aller boire une bonne chope bien fraiche, ça m'a donné soif!

un tres beau discourt que je vais me servir dans ma cariere professionnelle etant un "bebe elagueur" je vais prendre le plus de conseil possible pour eviter des connerie meme si je vais en faire bien sur(mal heureusement).
Mais dite pour quoi tu ne lui fait pas garder sa forme normal soit (comme le jeu de carte) en pique?
c'est ça plus belle feuille non?

barillo a écrit:

ceux qui ne supportent pas l'idée de mourir avant leur arbre avec ceux là pas grand chose a faire...

c'est vrai que souvent le contre argument par rapport à une gestion à long terme c'est : "d'ici là on ne sera plus là!!!" 
L'égo de l'homme est difficile à contrer, surtout quand il argumente par "après moi le déluge"