a mon avis c est de passé par une bonne ecole qui de toute facon se fera par apprentissage donc avc des pros dans des conditions le plus proche de la realité du metier et sa dureté(le seul reproche que je peut faire au école et méme au trés bonne c est de ne pas montrer assez le coté "rendement" de ce metier)
mais la meilleur ecole reste l experience dans ce metier on en apprend tous les jours
que se soit a 40 ou a 20ans chaque arbre ,chaque siuation est differente et qui ne sont pas toujours dans les "manueles"

Dernière modification par tony02100 (27-04-2009 21:41:02)

Humm,
Que dire alors des Turcs,Croates et autres Portugais qui font du bon travail voir de l'excellent travail pour certains et qui plus est, en n'ayant jamais été à l'école...ils ont appris sur le tas.
C'est vrai que je connais une personne qui est sortie du lycée de Charleville-Mézières avec son diplôme de bûcheron en poche.Le type quand il fait un égobelage,c'est carré l'histoire.Tu peux mettre un niveau sur la souche,c'est entre les 2 traits la bulle...et ça tombe là ou il veut.
Par contre,le type en rendement il est moyen et aujourd'hui il a trouvé une place de fonctionnaire.
Et Dieu sait qu'un bûcheron doit en faire couler de la sueur pour gagner quelques dizaines de centaines d'euros par mois.
Mais je pense qu'on apprend encore tout les jours comme dit Tony  mais il y a quand même des fondamentaux à maîtriser non?

A dé.

arema a écrit:

Humm,
Que dire alors des Turcs,Croates et autres Portugais qui font du bon travail voir de l'excellent travail pour certains et qui plus est, en n'ayant jamais été à l'école...ils ont appris sur le tas.
C'est vrai que je connais une personne qui est sortie du lycée de Charleville-Mézières avec son diplôme de bûcheron en poche.Le type quand il fait un égobelage,c'est carré l'histoire.Tu peux mettre un niveau sur la souche,c'est entre les 2 traits la bulle...et ça tombe là ou il veut.
Par contre,le type en rendement il est moyen et aujourd'hui il a trouvé une place de fonctionnaire.
Et Dieu sait qu'un bûcheron doit en faire couler de la sueur pour gagner quelques dizaines de centaines d'euros par mois.
Mais je pense qu'on apprend encore tout les jours comme dit Tony  mais il y a quand même des fondamentaux à maîtriser non?

A dé.

jai jamais vu de ces gens la travailler parfaitement il manque souvent de technique ou bien ils en inventent.....ils n ont aucune ou trés peu de connaissance en sylviculture ce qui est primordiale pour un travail de qualité en foret bref on ne s invente pas on n apprend.Qualité rendement securité c est ce que me repétaient mon moniteur et les 3 von bien ensemble sauf un que beaucoup confondent avc le rendement c est la rapidité et la precipations
Ps:je sors egalement de charleville et l ecole ne fait pas le bucheron mais elle donne des base fondamentale aprés a chaqun de faire comme il doit mais ce qui est sur ce n est pas donné a tout le monde d avoir des rendement extraordinaire c est comme au sport il y a des bons et des trés mauvais

Dernière modification par tony02100 (28-04-2009 20:57:58)

Salut tout le monde

Je suis de l'ancienne école et j'ai tout appris sur le tas (plusieurs génération de bûcherons dans la famille et 3 scieries). Au risque de froisser mes pères    , je pense que la meilleure solution est de pouvoir faire dans un premier temps une école qui permet d'avoir les bases du métier, de connaitre les textes qui régissent aussi bien le travail que la gestion forestière, les dernières innovations en matière de sécurité, l'emploi des EPI et les nouveaux matériels. Cela permet également de connaitre la forêt, de pouvoir reconnaitre les essences d'arbres afin de pouvoir par la suite donner un avis sur telle ou telle parcelle ou technique à employer. Mais surtout, cela permet d'obtenir un examen qui permet de prétendre à un emploi et une rémunération en conséquence. Dans un deuxième temps, trouver quelqu'un qui puisse faire partager son expérience, donner les ficelles du métiers tout en précisant bien que chaque arbre, chaque abbattage est différent et que rien ne remplace l'expérience. Il faut surtout garder en tête que ce métier est difficile, qu'il ne faut ménager ni sa peine, ni son temps si on veut en vivre correctement et qu'il ne faut pas confondre précipitation et rendement.
La forêt vous incite à être humble, alors l'expérience des anciens couplée à une bonne formation en école ne peut être que bénéfique à quelqu'un de motivé mais également à la préservation de nos forêt.

Amicalement GIBUS

Salut,

  pour Gibbus, de plus le diplome est nécessaire pour s'installer ( à moins de pouvoir justifier d'au moins 5 ans d'expérience.

et bonjour!!
personnellement j'ai appris le metier avec mon père qui était entrepreneur forestier et je ne regrette en rien le fait de ne pas avoir fais d'école specialisée.
le probleme avec les écoles c'est qu'on néglige trop la partie fatiguante du metier (et dans bien d'autre metiers aussi)
je pense aussi qu'il faut avoir affaire à des bonnes personnes patientes qui n'ont pas peur de montrer comment faire, qui sont pretes à garder un peu de temps chaque jour pour ca.
Ne pas apprendre avec quelqu'un qui geule pour rien etc...etre tres motivé et etre patient soit meme.
Je pense que bucheron fait parti des métiers où l'on apprend vraiment tous les jours et je croise des personnes qui estiment en apprendre encore après meme des dizaines d'années d'experience.
j'ai actuellement mon premier salarié à mis temps et je le forme petit à petit et j'ai la chance à mon tour de tomber sur quelqu'un de patient qui demande qu'à apprendre et à s'améliorer et je remarque des progres réel tous les jours alors que moi meme je gagne en dextérité.
c'est une sensation unique et agréable.