Merci Lelphe.
J'aimerais bien voir le reste de ces études.
Il faut que je trouve ce livre.

Pour la traduction, on va essayer. Rectifiez moi stp si je sors une ânerie !

Premier document :

En 1962, des expériences sur les blessures ont été lancées sur des arbres vivants dans les forêts du New Hampshire. De nombreux types de blessures ont été infligées à des centaines d'arbres. Certaines blessures ont été contaminées avec des microorganismes présents dans le bois, d'autres non. Certaines blessures ont été traitées par une grande variétés de produits. Après des durées allant de une semaine à 17 ans, des arbres ont été coupés et les blessures dissectées. Les résultats ont donné des informations sur l'évolution spatiale et temporelle des modifications de couleur, des pourritures et des schémas d'infection des microorganismes au sein de l'arbre.
Cet érable rouge est tiré d'une expérience qui a mis en évidence les fortes frontières (flèches) qui ont résistées à la propagation des pathogènes.
La croissance des bourrelets de recouvrement a été distincte du développement de la coloration** dans le bois.
Les 10 érables rouges de cette expérience ont tous présenté des schémas similaires de croissance des bourrelets de recouvrement et de mise en place de la coloration interne du bois.



Deuxième document :

C'est le même échantillon (figure 2) tel qu'il apparaissait immédiatement après qu'il soit coupé*.
La large colonne centrale de bois dégradé était entourée de bois coloré.**
Les petites taches sombres indiquées par les flèches aident à expliquer l'extension du défaut au delà du bois existant lors de la mort de la branche.


* note de ma pomme : rien à voir avec l'échantillon du premier document. Autre expérience.
** note bis : "discolored" signifie plus exactement "coloration anormale" (plus claire, plus foncée, teinte différente...) au lieu de "décoloré" comme on le trouve souvent dans les traductions.

Voilà !
Ca colle ? 


Marc-Antoine

j'crois pas qu'ce soit une idée terrible...ou alors si, elle est terrible.

Marc Antoine
Jais dans l'idée que pour ton chêne avec ces beaux bourrelets, est dans des conditions similaires à la première photo.

Le but était de remplacer la zone noircie, par du construit et fiable imperméable, sachant que Sachant que les couvertures sur les blessures du chêne, répondent mieux.

Je vois ce que tu veux dire OléiculteurCiviculteur, mais si l'on a un intermédiaire (comme je le crains) entre le cas 1 qui s'est très bien défendu et le cas 2 qui s'est fait débordé, ton opération me semble impraticable.


Marc-Antoine


Au fait, j'ai inventé un nouveau mot !   
Dans la traduction du doc 1, il faut lire : "Après des durées allant de une semaine à 17 ans, des arbres ont été coupés et les blessures disséquées."

Dernière modification par Marc-Antoine (16-11-2008 22:35:47)

SHIGO , c'est du petit lait ,de la confiture ; attention à ne pas donner de la confiture aux cochons ; le débat perdrait en qualité

Salut LELPHE et Longicorne !

On s'est mal compris ; bien sur que la vulgarisation est importante et que le savoir doit être diffusé au plus grand nombre .

Seulement , quand on a affaire à des gens qui prétendent déja tout connaître , tawannent les arbres "pour leur bien ", et rebouchent les cavités avec du béton armé ; je pense qu'il est inutile de s'épuiser en discussion avec eux .

Quand aux animaux , ânes , cochons ou loups ; ils ont toute mon affection ; les dictons populaires ne les mettent pas à leur juste place , c'est dommage .

Un que j'aime bien :" l'homme est un loup pour l'homme" ,soit disant mais les loups ne se dévorent pas entre eux .

"il n'y a pas plus sourd qu'un âne qui ne veut pas entendre " ; un sot n'écoute pas les conseils qu'on lui donne .

Mais en montagne , si un âne refuse d'avancer , c'est qu'il sent un danger . Souvent le problème vient des hommes qui ne savent pas comprendre les animaux ;
cf la vidéo de débardage à cheval de GAB , où un imbécile essaie de faire débarder un énorme bille à un cheval de selle ;)