exemple

a écrit:

Il y avait une rencontre à Pontivy ce matin... mais c'est pas là que j'ai croisé Augustin.
Passons le double ancrage arboricole et le GSST au pied de l'arbre qui fait ses mots croisés.
Avec le compte rendu de la réunion du 7/10/2008 Législation du travail Le Gros Chêne Pontivy,
il est possible de faire une petite fiche:

Pourquoi, aujourd'hui, je n'ai pas utilisé de nacelle sur mon chantier d'élagage.

? le chantier est en pente (mise en sécurité de certains modèles)
? la place au sol est insuffisante (réduction de l'espace de travail et augmentation du facteur risque)
? la taille du panier (impossible de pénétrer dans la couronne)
? le développement des bras (impossible de pénétrer dans la couronne)
? le risque de blessure à la ramification et d'axe d'avenir (respect du végétale)
? le risque d'arracher un flexible (conséquence écologique)
? le risque de chute involontaire de bois mort (augmentation du facteur risque)
? le tassement du sol (poids, déplacements , surdimention de la nacelle car interdiction(encore une !) de travailler à l'aplomb de point de stationnement)
? la pollution (sonore, pétrole,...)
? le respect de l'éthique et des règles de l'art du métier
? l'arbre est sain
? ...
? le coût de l'élagage avec la location de la nacelle est beaucoup plus élevé que le coût de l'élagage en corde.
? le passage de la nacelle sur terrain meuble va obliger à remettre en état le terrain (pelouse ou autre)


L'usage de ce type de matériel doit rester un choix et non une obligation.

Xavier Le Bris dit : L’arrêté du 4 août 2005 ne doit pas être considéré comme une contrainte par les professionnels mais plutôt comme une reconnaissance de la spécificité de notre métier, de part les compétences techniques à mettre en oeuvre dans toutes interventions: grimpé et connaissance de l’arbre !!

L'ITEPSA et la MSA rappel que La législation en vigueur est incontournable et doit être appliquée !
Mais ils ont insisté aussi sur la notion de bon sens à mettre en oeuvre pour réaliser les interventions en toute sécurité.
!

compliqué les couleurs... le caractère gras peut suffire.

Dernière modification par G A B (01-11-2008 21:24:55)

Il y avait une rencontre à Pontivy ce matin... mais c'est pas là que j'ai croisé Augustin.
Passons le double ancrage arboricole et le GSST au pied de l'arbre qui fait ses mots croisés.
Avec le compte rendu de la réunion du 7/10/2008 Législation du travail Le Gros Chêne Pontivy,
il est possible de faire une petite fiche:

Pourquoi, aujourd'hui, je n'ai pas utilisé de nacelle sur mon chantier d'élagage.

? le chantier est en pente (mise en sécurité de certains modèles)
? la place au sol est insuffisante (réduction de l'espace de travail et augmentation du facteur risque)
? la taille du panier (impossible de pénétrer dans la couronne)
? le développement des bras (impossible de pénétrer dans la couronne)
? le risque de blessure à la ramification et d'axe d'avenir (respect du végétale)
? le risque d'arracher un flexible (conséquence écologique)
? le risque de chute involontaire de bois mort (augmentation du facteur risque)
? le tassement du sol (poids, déplacements , surdimention de la nacelle car interdiction(encore une !) de travailler à l'aplomb de point de stationnement)
? la pollution (sonore, pétrole,...)
? le respect de l'éthique et des règles de l'art du métier
? l'arbre est sain
? ...
? le coût de l'élagage avec la location de la nacelle est beaucoup plus élevé que le coût de l'élagage en corde.
? le passage de la nacelle sur terrain meuble va obliger à remettre en état le terrain (pelouse ou autre)


L'usage de ce type de matériel doit rester un choix et non une obligation.

Xavier Le Bris dit : L’arrêté du 4 août 2005 ne doit pas être considéré comme une contrainte par les professionnels mais plutôt comme une reconnaissance de la spécificité de notre métier, de part les compétences techniques à mettre en oeuvre dans toutes interventions: grimpé et connaissance de l’arbre !!


L'ITEPSA et la MSA rappel que La législation en vigueur est incontournable et doit être appliquée !
Mais ils ont insisté aussi sur la notion de bon sens à mettre en oeuvre pour réaliser les interventions en toute sécurité.
!

Revenons à l'obligation de présence d'un GSST au pied de l'arbre.
Au vu de l'environnement économique actuel, il est illusoire de demander aux petites entreprises d'embaucher un salarié formé.
Il nous faut signaler que l'application strict du  texte paru au JO du 10/10/2008 concernant les élagueurs indépendants ou les chefs d'entreprise met en péril l'emploi et la stabilité financière de nombreux salariés, de petits entrepreneurs et de leur famille.

Dernière modification par potiron (02-11-2008 10:37:56)

Marc-Antoine a écrit:

C'est plutôt "met".

c'est modifié 

Nous pouvons nous défendre sur beaucoup de point citer plus haut, mais il y a un seul point ou on ne peut rien dire:

? le coût de l'élagage avec la location de la nacelle est beaucoup plus élevé que le coût de l'élagage en corde.

La prise en compte de ce facteur, le législateur s'en tape complètement, c'est le moindre de ces soucis.....injustifiable pour lui par rapport à la sécurité.....

Leur reste par contre est tout a fait jusitifié.......

a+

Il y avait une rencontre à Pontivy ce matin... mais c'est pas là que j'ai croisé Augustin.
Passons le double ancrage arboricole et le GSST au pied de l'arbre qui fait ses mots croisés.
Avec le compte rendu de la réunion du 7/10/2008 Législation du travail Le Gros Chêne Pontivy,
il est possible de faire une petite fiche:

Pourquoi, aujourd'hui, je n'ai pas utilisé de nacelle sur mon chantier d'élagage.

? le chantier est en pente (mise en sécurité de certains modèles)
? la place au sol est insuffisante (réduction de l'espace de travail et augmentation du facteur risque)
? la taille du panier (impossible de pénétrer dans la couronne)
? le développement des bras (impossible de pénétrer dans la couronne)
? le risque de blessure à la ramification et d'axe d'avenir (respect du végétale)
? le risque d'arracher un flexible (conséquence écologique)
? le risque de chute involontaire de bois mort (augmentation du facteur risque)
? le tassement du sol (poids, déplacements , surdimention de la nacelle car interdiction(encore une !) de travailler à l'aplomb de point de stationnement)
? la pollution (sonore, pétrole,...)
? le respect de l'éthique et des règles de l'art du métier
? l'arbre est sain
? ...
? je n'ai pas confiance dans une nacelle
? le passage de la nacelle sur terrain meuble va obliger à remettre en état le terrain (pelouse ou autre)
? le risque d'arracher un flexible (conséquence écologique, jet d'huile éventuellement sous haute pression, avec un très fort pouvoir pénétrant, pouvant traverser sans difficulté n'importe quel vêtement courant ainsi que la personne à l'intérieur) (perte de la tenue hydraulique de la machine avec pour conséquence possible la chute du bras et son impact mortel au sol)
? diminution du champs de vision et d'action au sol  (met l'homme de pied en danger)
L'usage de ce type de matériel doit rester un choix et non une obligation.

Xavier Le Bris dit : L’arrêté du 4 août 2005 ne doit pas être considéré comme une contrainte par les professionnels mais plutôt comme une reconnaissance de la spécificité de notre métier, de part les compétences techniques à mettre en oeuvre dans toutes interventions: grimpé et connaissance de l’arbre !!


L'ITEPSA et la MSA rappel que La législation en vigueur est incontournable et doit être appliquée !
Mais ils ont insisté aussi sur la notion de bon sens à mettre en oeuvre pour réaliser les interventions en toute sécurité.