Pour avoir une petite idée avant



Olivier dans plus de 4 mètres de ronces, depuis plus de 40 ans, et voir plus
Au sol il y avait avant de broyer, plus de 25 cm d’épaisseur de ronces désintégrées en terreau, et plus de 30 cm sous les millénaires.
Le tronc le plus épais faisait plus de 1,30 mètres de diamètre, et il était mort, depuis des lustres, lui j’ai du le faire avec des chaînes spéciales, comme si je tronçonnais du fer




Oliviers dépassant le siècle et demi dans les ronces
Sur la droite on distingue une charpentière, elle est a plus de 4 mètres, en haut ce n’est pas du bois mort, mais le reste de ronces, a plus de 10 mètres.





Les murets à cet endroit font plus de trois mètres, l’olivier est a plus de cinq mètres du bord
Lui il ne ma pas pris la tête longtemps, première coupe a quatre mètre, en cherchant ou était le cœur avant, ensuite en biais a 1.5 mètres.



Oliviers dans les ronces suite, ne faisant plus d’olives, la charpentière sur la droite, accessible avec l’échelle de 7 mètres, je vous laisse, le soin pour la hauteur.

Cela se sont des très faciles, encore, cela donne une idée avant, sauf s’ils sont creux, et c’est impératif, il faut le savoir, sur certains millénaires j’ai fait des carottes de plus d’un mètre, pour être sur du coup, et sur certains plus de 15 coins.

Maintenant de la a dire que c’était joli, quel dommage.   

Trois sont dans les photos que j’ai déjà postées.

Et avant de vous poster « après », je suis curieux de voir vos commentaires, constructifs et aussi les autres ?

Pas de souci il m’en reste un dans le 20 mètres, et quelques millions d’autres dans le secteur, mais eux qui ne sont pas a moi « Ouf » moi j’ai donné  

Le plus terrible, les coins qui rentrent, dans la fente que laisse la tronçonneuse, et le bois qui revient prendre sa place, emprisonnant les coins, je voulais en faire pivoter, comme je fais sur les chênes.
J’ai essayé trois fois.

Je ne suis pas prêt de recommencer, j’ai senti la glace dégouliner le long de la colonne vertébrale,   j’ai même cassé deux bras de leviers de chez Styl,  maintenant terminé, avant je démonte les charpentières, et j’ai pris mon temps.

Le troisième a fait 180 degrés dans le sens inverse, et merci au deux voisins, qui m’on tiré par les sangles, la lame de la tronçonneuse en acier plein, fendu et broyé.

Les plus dangereux, les pépères, même de 1 mètre bien sec, il a fallu que je réalise avec un débit plus important d’huile, du double, un seul sciage de tronc le bidon d’huile de la tronçonneuse sec, des flammes

Les derniers secs, j’ai loué un opérateur avec son bulldozer, en premier, il est venu avec un 10 tonnes, il est reparti et revenu avec son 25 tonnes, en premier il avais une 92 cc il y a laisse deux chaînes a la poubelle, et une lame, et l’olivier toujours debout, pour en faire tomber 12 il a mis 5 heures, et trois heures pour boucher les trous des racines a plus de quatre mètres. J’ai mis 4 jours pour les débiter, et laisse 6 chaînes à la poubelle.
Il a pris le bois, et c’est chauffé avec pendant quatre ans.

Le comble de l’histoire, il a fait fondre sa première chaudière, avec les racines des mattes.

Voila et je suis comptent de mettre débarrassé de ces corvées.

Apres cela, l’on peut dire facile la vie d’un oléiculteur en terrasse. Ou pour quelle raisons elles sont abandonnées 

Personnellement, je dois être a plus de 600 de ces pépères, que j’ai remis en production, chez moi et chez mes voisins bien évidemment, et maintenant je vais me contenter assurer les suivants
Et assurer les suivants, ce n’est pas si simple, à cause des hauteurs des terrasses

Par contre l’on a bricolé un truc, comme sur les bateaux hors bord, avec un lacet au poigné très court, et un système qui bloque le starter, si on lâche la tronçonneuse, arrêt immédiat de celle-ci., même équipé anti coupe.

Par contre l’olivier vert de la rigolade, une fois par terre.

Cordialement
Edy