s'il y a eu suintement de sève c'est un autre type d'affaiblissement que celui que j'ai observé. Il correspond à une réaction de stress pouvant être en relation avec l'état hydrique de la plante (manque, déficit entre le besoin et l'offre disponible .... Si vos expertises n'ont rien conclu, elles excluent certainement  les causes biotiques (insectes, piarasites, humaines) et mettent en conséquence, en avant  l'hypothèse physiologique en rapport avec un manque d'adaptation à un stress climatique ou pédologique.

disons que les modifications du niveau de la nappe sont brutales ,le système racinaire n'a pas le temps de s'adapter

apex a écrit:

disons que les modifications du niveau de la nappe sont brutales ,le système racinaire n'a pas le temps de s'adapter

Je soupçonne le même problème pour nos eucalyptus dans le coin

manque d'eau excés d'eau même combat ....
mais j'ai une question : Adelinepion dit

personnes n'a pu me dire de quoi, malgré une expertise.

l'expert n(a rien dit de ce que tu attendais donc l'expertise est nulle ou bien cette analyse abouti vraiment : "à  aucune hypothèse n'est possible" ce qui m'étonnerai fort et même m'inquièterai terriblement sur la façon de bosser de  mes collègues

Ah, si seulemnt, ils pouvaient parler....

oui tout à fait ST20, les toubib sont qd plus aidés que nous les :où as tu mal ? Dites 33 .... on y aps droit c'est galèèèèère
Bon on se résume :
- un cèdre de 35 ans est un p'tit jeune encore,
- lorsqu'il subi un stress hydrique un feuillu réagit en stoppant ou diminuant son évapotransipration  en amorçant un automne précoce : défeuillaison immédiate, un résineux non
- ce n'est pas parce que ce cèdre était irrigué qu'il n'a pas ressenti un stress hydrique et peut être même que ça l'a empiré
-  au bilan ce diagnostic nous renvoie à  une cause physiologique : une fonction vitale a été enrayée l'arbre n'a pas  réagi suffisamment pour se maintenir
Il s'agit là d'un cas qui pour être (partiellement) expliqué renvoie le diagnostiqueur à ses connaissances sur le fonctionnement fondmental d'un végétal (tenez le coup j'ai bientôt fini !!!
bcq ont amené des elements de reflexions interessants sur ce post (Pipiol, arbor ....) il ne manque plus qu'à rajouetr l'importance des liaison symbiotiques micohrhyziennes pour un bon approvisionnement des racines .
Je m'evertue à répondre sur ce post, pour faire comprendre qu'un diagnostic est complexe et ne doit pas être jugé selon ce qu'on attend ou ses propres aprioris : lorsqu'un parasite est trouvé on a affaire à un super cracks, le gestionnaire est rassuré ...lorsqu'il n'y a rien qu'une hypothèse physiologique bah ... c'est nul. POurtant lorsqu'on se plonge de près dans la physiologie d'un végétal ...à ouais c'est pas forcément facile de "végéter"