Merci de nous faire partager ta mauvaise expérience.

Cela nous rappelle que ce genre de travail est dangereux et qu'avec l'habitude on deviens moins attentif.

Les côtes c'est douloureux et comme les collègues ne savent en général pas arrêter les plaisanteries j'en ai souffert un moment.

Es-ce arrivé en début de journée ou en fin?

C'était le dernier arbre à faire ce jour là.

un relachement de l'attention 

heureusement plus de peur que de mal de plus etre l'homme de pied dans ces cas la c'est terrible car on reste impuissant

etre l'homme de pied dans ces cas la c'est terrible car on reste impuissant

alors ce n'est pas un "homme de pied", c'est un mandaille...

un homme de pied, ca doit savoir monter dans l'arbre chercher son collègue.

a+, Mike

je ne lui ai pas laissé le temps

toi tu compte pas, t'es un ours         

Salut Mike, as-tu laissé assez de charnière quand tu abattais la tête?
Je sais que sur le bois mort il est très difficile juger la bonne épaisseur de charnière qu'il faut laisser, mais c'est la dernière des sécurités, comme sur le bois sain.
Y a t'il quelque chose qui a changé dans ta façon de travailler depuis cette grosse frayeur?
A+

Salut ex poète,

ce n'est pas à moi que c'est arrivé. C'est mon gros nounours de Marc.

Pour répondre à ta question, chaque fois qu'on se fait une frayeur, en cherche l'erreur, et on corrige les fois suivante. c'est ce qu'on appele prendre de l'expérience.

Mais pour ce qui est du coup de Marc, je peux te dire qu'avant de faire son entaille d'abattage, il regarde à deux fois (je le vois d'en bas ou de mon arbre  )

a+, Mike