Récupère les troncs, fait venir une scirie mobile ( à tes frais)  pour en faire des planches ou autre .
Tu revend çà et là tu fais d'une pierre deux coup.

Vers chez moi j'ai une entreprise de scirie mobile qui fait ça pour un ou deux élagueur. C'est lui qui m'a donné l'astuce.

Maintenant  il faut avoir de la place pour le faire venir et stocker les planches. Celui que je connaisse se déplace pour une journée de travail minimum.

Un collègue avec un tracteur et un godet fourche à l'avant, pour la scierie c'est une bonne idée, mais tout doit être fait assez rapidement et je n'ai pas la capacité de pouvoir stocké toutes ces planches
La meilleure solutions je pense est le rachat pour broyage plaquette.
Encore faut-il trouvé l'entreprise !

Je ne suis pas du tout du coin.
Regarde du côté des centrales thermiques à biomasse. Avec un peu de chance il peut y en avoir une à proximité. Même s'ils n'ont pas eux même l'équipement, ils ont forcément les coordonnées pour leur appro.

En plaquette, ils n'aiment pas les aiguilles dans mon coin. Pour les tronc de conifère pas de problème mais mon marchand de bois ne veut pas d'aiguilles. Il parait que ça bloque les vis sans fin (à Charles de Gaule ou il en utilisent).

Je crois que le "BRF" à été découvert au Québec dans les années 70 et c'était du broyat de résineux.
J'ai même eu des tomates dans un tas de broyat de cèdre.

La commune de Bonnoeuvre (44) chauffe ses locaux communaux avec de la plaquette, ils doivent avoir les coordonnées de l'entreprise qui vient broyer.

Y a certaines communes qui se servent de branchage pour retenir les dunes. 

   ce qui me choque, c'est que ça devrait être interdit de raser une parcelle pour construire, 45 gros pins, c'est énorme !
C'est pas un ou deux.
Pour situer Guérande est proche de la mer, voir vue sur mer...

Panda a écrit:

Pas recommander d'utiliser le résineux. Attention, la première année, il peut y avoir une forte demande en azote.

Le broyat de pin et résineux avec aiguille peut être répandu au pied des fraisiers, myrtilles, framboisier sur une couche d'environ 5 cm et pourquoi pas les érables ou le magnolia suivant le type de terrain surlequel ils sont plantés.

Provocant une très lente acidification du sol (voir inexistante - test pH effectué sur mon sol), j'aime à en répandre un peu sur la partie supérieur de mes sols culture pour limiter la propagation des escargots et des limaces.

Concernant la faim d'azote, liée à l'action des décomposeurs sur la matière organique, il est conseillé de déposer le BRF en autonome une fois qu'une grande partie des cultures sont récoltées.