Salut Igy!!!!

Tout d'abord, espèce de Trolll!   

Nous avons rencontré les mêmes situations... Et nous rectifions certaines coupes quand:

* Cela peut faciliter la compartimentation
* l'élagueur précédent a laissé des chicots qui risquent de provoquer de la pourriture dans le cône d'insertion de la branche
* Quand l'arbre est vigoureux (voir pousses de l'année)
* Quand le nombre d'intervention n'est pas éxagéré, histoire de ne pas pousser l'arbre à aller puiser trop dans ses réserves.

Voilà, t'as raison en disant...que c'est à l'appréciation de l'intervenant... Généralement, une grosse discussion précède ce genre d'intervention   

à très bientôt mon vieux!!! Et bisous à Hélène

Bore

PS: Je t'envoie un message privé...sorry, j'ai laissé pas mal de temps à réagir à ton dernier message! 

Salut Bore et merci Olivier,

ceci dit en passant que faites vous sur des essences à faible capacité de compartimentation (ex: Marronnier, Bouleau, Saule, Noyer, Sophora,..)?
J'hésite

Dernière modification par Igy (18-11-2007 17:10:19)

Étant été bucheron avant de devenir élagueur (attention aux préjugés  ), j'ai souvent vu des arbres en forêt avec des charpentières cassées (ex: Sur Chêne, Châtaignier). Ces parties me semblait ne pas gêner au développement et à la pérennité de leur ôte. Les arbres s'en sortent très bien tous seul, je trouve.

L'arbre ayant besoin d'un certain temps pour mettre ses barrières en place et isoler la partie à condamné ; dans le cas où l'on revient sur le cale en supprimant la partie condamnée, la porte ouverte aux parasites serait plus proche de la partie saine.
Bien que le cale (qui n'ai pas toujours visible, au risque de faire une mauvaise coupe) pourrait se reformer correctement le risque d'altération des tissus sain est important.

Alors que dans l'autre cas, si on la préserve, ne permettrait-elle pas de faire "tampon" en ralentissant (à moyen terme, j'en conviens) la propagation d'éventuel parasite "champignesque". Comme la partie ne véhicule plus de sève, les parasites ne pourrait pas si installer.
Ainsi  le tronc, qui joue le rôle de pilier principal, serait éloigné de ce danger (du moins temporairement). Si celui-ci venait à souffrir d'une fragilité dut à une pourriture cela entrainerait une altération de ce pilier et de toute les parties saines qui y sont reliées.

Qu'en pensez-vous ?

Igy a écrit:

Je vois que mon sujet n'intéresse pas beaucoup de monde. 

Peut-être que je me complique la vie pour rien ? On coupe et puis c'est tout. 
Surtout ne pas ce poser de question. 
J'essaierais de faire mieux la prochaine fois, salut !   parti me pendre !

Salut Igy,

Ronchon pour un dimanche   

Ta question à intéressé du monde mais les gens n'ont par forcément répondu, ce qui est diffèrent   

Certain vont lire les conseils suite à ta question mais sans y répondre et en tous cas, pour certains cette question reviendra en mémoire arrivé sur le cas que tu parles et agiront en fonction de leur idées et de ceux qu'ils ont lu.

Donc rien n'est perdu même si tu trouves qu'il y a peu de réponse.

Olivier