bah ? non si tu supprimes ces rejets(plus forts) ils vont repartirent! ou donner leur vigueur a ceux que tu laisses
je ne comprends pas trop ton raisonnement, pourquoi ne pas entreprendre une taille d'entretien sur tetes de chats?

ou alors former des têtes de chats sur les prolongements...

ça va être étrange les premières années...

Est ce judicieux de tailler en sélectionnant les rejets les plus faibles et enlever les plus vigoureux?
dans le but de favoriser un développement plus lent de l'arbre afin d'éviter des tailles drastiques "pour le mettre au gabarit"?

J'ai aussi envisagé cette façon de calmer le jeu en faisant une sélection défavorisante de rejets, notamment dans le but de faire des réductions "habillées".
Sans en faire une généralité, les exemples d'anciennes coupes réalisées suivant ce principe ne m'ont pas paru satisfaisants. Je précise qu'il s'agit pour la plus-part de cas isolés au sein d'une couronne et non d'un principe de taille appliqué à l'arbre tout entier.
J'ai constaté assez souvent sur tilleul, platane, érable, noisetier, bouleau... que les rejets ou rameaux faiblards placés (en principe) en position de force par une taille, restent à l'état faiblard et sont en quelque sorte oubliés dans le nouveau plan de développement de l'arbre en réponse au traumatisme. L'arbre met en place de nouveaux rameaux à croissance rapide qui prennent immédiatement le pas sur les rameaux survivants "tranquilloux" qui eux continuent leur bonhomme de chemin.

A voir pour le suivi d'une couronne entièrement taillée selon ce principe, mais je présume que la réponse sera variable selon l'espèce et les caractéristiques de la taille (rapport section enlevée/ section laissée, vigueur initiale, position dans la couronne...).