Respirer les fumées peut provoquer des réactions allergiques.

Je reviens le lendemain récupérer le bidon.

Marc-Antoine a écrit:

De toutes façons,  ce n'est jamais conseillé de respirer des produits de combustion ou n'importe quelle fumée d'ailleurs. Mais c'est vrai que si le feu est paresseux (bois vert ou humide), la fumée doit etre aussi sympa à respirer que la poussière du broyeur. Il faut un feu bien vigoureux pour essayer de cramer par dessus le maximum de ce qui se dégage des nids.

Ton bidon, tu dois revenir le prendre plus tard, ou tu l'emmènes tout brûlant ?

  Pour la température. Mettre les nids une fois que le feu est bien vif. A savoir, sur des températures insuffisantes, et un feu faiblard, les chenilles se regroupent en boule. Celles en périphérie crament, mais celles qui sont au centre ont une petite chance de s'en sortir... Stratégie de survie...

le viok a écrit:

L'idée de Laurent est pas mal, sauf qu'il faut décortiquer les cocons des branches, pour quelqu'un de sensible, ce doit être moyen..........il faudra que j'essaye.

Pour la technique de Laurent, je pense que si on coupe au sécateur au raz du nid, pas forcément besoin de décortiquer, vu que ces bestioles ont la manie de s'installer sur les bouts de branches, celles du pin en tout cas... Sinon, s'il faut absolument décortiquer, pourquoi ne pas le faire dans l'eau de la bassine...?

Bonsoir
En fait je fais comme le propose Pino, je coupe au plus prés du nid pour limiter le volume, mais en aucun cas je dépiaute le nid de son support.
Je suis devenu du jour au lendemain ultra sensible à ces bestioles et c'est la technique de l'eau qui me convient le mieux.
Pas toujours facile de faire un feu dans un parc public mais également pas toujours possible d'avoir de l'eau à proximité.
Si possible je fais bassine (poubelle....) chez le client puis je lui dit de bruler plus tard.Sinon chez moi fut de 200l j'entasse et je couvre d'eau puis plus tard je vide l'eau et je brule dans le même contenant sans manipulations.
C'est du coup relativement simple (enfin pour ma part), car pas d'impératif chiant à gérer, pas de poils qui s'envolent...

Je ne vu pour ma part que peu de contraintes, mais cela ne reste que mon point de vue et ma méthode tous comme la grimpe "prendre le meilleur des uns et des autres" et adapter le tout à sa sauce.

En tout cas c'est vraiment le seul truc qui me permet de limiter ma réaction allergique à ces mer....

Dernière modification par Mr Patate (04-01-2016 21:57:11)

le viok a écrit:

Dans cette histoire ce qui est cool, c'est d'avoir plusieurs outils après échange ........ 

Mr Patate a écrit:

Je suis devenu du jour au lendemain ultra sensible à ces bestioles et c'est la technique de l'eau qui me convient le mieux.

ça me rappelle mon formateur... Il suffisait d'en parler, ou simplement de dire "chenille processionnaire" pour qu'il commence à se gratter les avant bras, ou la base du cou...
Nous ne sommes pas tous égaux face au pouvoir allergisant de ces bestioles... Mais une chose est sûre, plus on s'y frotte, moins on les supporte...

Il est certain que ça économise pas mal les déplacements. Mais c'est vraiment galère à trimbaler et à utiliser dans un arbre.

En aucun cas on parle d'installation de nichoirs a mésange. Ce chtio piaffon insectivore a sûrement un rôle intéressant a jouer en complément des autres méthodes de lutte contre les processionnaires...