oui se sont bien des classe 1 la machine utiliser une ms 440

J'ai fait un copier, coller, d'un texte trouvé sur le site stihl.

Vous êtes nombreux à utiliser des tronçonneuses à chaîne et à vous interroger sur le choix du vêtement de protection à employer. Voici quelques éléments destinés à faciliter votre choix.
Tous usagers de tronçonneuses à chaîne se doit de valider les risques encourus sur le chantier et de s'équiper pour prévenir ces risques identifiés, que vous soyer un professionnel ou un utilisateur occasionnel. Les vêtements anticoupure sont donc très prisés. Ces vêtements sont régis par la norme EN 381-5 Classe 1, minimum requis pour une protection efficace.
Aujourd'hui, la protection de Classe 1 (20m/s) offre suffisamment de sécurité contre les risques de coupure. Des organismes, tels que le KWF, nous rapportent que dans 84% des cas, la chaîne a touché le pantalon sans atteindre la jambe en offrant la protection souhaitée. Dans les 16% restant, la blessure n'a pu être évitée à cause de défauts d'utilisation comme par exemple : pantalon ayant tourné sur la jambe, des vêtements trop amples ou humides, etc. Notons cependant, qu'il n'existe aucune protection capable d'assurer une sécurité à 100 %.

Les vêtements de classe 2 (24m/s) ou 3 (28m/s) sont peu représentés, car leur conception génère des contraintes de poids et d'ergonomie. Ces derniers sont lourds et chauds, surtout l'été. D'ailleurs, il y a très peu de fabricant dans ce domaine.

En ce qui concerne les chaussures, la problématique est la même. Elles sont soumises à la norme EN 17249 et l'indice de vitesse minimale est : Classe 1. Les classes supérieures sont généralement appliquées sur les bottes en caoutchouc qui répond plus facilement à ce critère. Ici aussi, les statistiques nous montrent qu'il n'est pas nécessaire d'opter pour des classes de protection supérieure à la Classe 1. Celle-ci remplissant très bien son rôle.

Bien évidement, il existe des tronçonneuses dont la vitesse de chaîne est supérieure à 20 m/s. Il faut remarquer qu'en phases d'accélération ou de décélération, ce qui correspond aux moments de moindre attention de l'opérateur, soit à un risque très élevé, cette vitesse n'est pas atteinte. De plus, La vitesse de chaîne n'est pas le seul facteur de risque de coupure. Lors des tests réalisés selon la norme EN 381 partie 2 et 5, les paramètres tels que l'angle de travail, la force d'appui, le type de chaîne, l'affûtage de chaîne, la technique de travail jouent un rôle plus important que la vitesse de chaîne elle même.

Pour faire un parallèle avec l'automobile, L'euroNCPA crash test est réalisé à 64 km/h et pourtant aujourd'hui, quelle automobile ne dépasse pas les 64 km/h maxi ?

si l'appelation anti coupure ne sert qua faire plaisir a la msa autan porter des chaussure de maçon la protection sera la meme le poids et le prix seron fortemen reduit !

louis76 a écrit:

si l'appelation anti coupure ne sert qua faire plaisir a la msa autan porter des chaussure de maçon la protection sera la meme le poids et le prix seron fortemen reduit !

L'appellation anti coupure, n'est pas usurpée, mais il y a 3 classes de protection :
Classe 1 : < ou = à 20 m/s : Le plus commun... Au final, seuls ceux qui travaillent avec des Pellenc sont "totalement" protégés...
Classe 2 : < ou = à 24 m/s : On en trouve, mais c'est plus épais (et plus cher, mais ça en matière de sécu, c'est annexe...)
Classe 3 : < ou = à 28 m/s : plus rare, (encore) plus épais, plus lourd...

Le tout pour un angle d'attaque de 45°...

Donc il y a bien des cas d'utilisation où l'efficacité de protection n'est que partielle...
Perso, je pense que si t'avais eu des chaussures de maçon, ton orteil aurait fini "proprement" détaché de ton pied, avec son (ses) petits frères en prime, vu que la seule protection dans ce cas, aurait été la semelle anti perforation... Ce qui est largement moins efficace, que le rajout des fibres qui se "tricotent" dans la chaîne, le pignon d'entraînement et le reste...

Autre élément de réflexion : plus le guide chaîne est long, plus il y aura de gouges (à pas égal) à passer dans la zone sensible avant tricotage et arrêt de la chaîne, et donc à prélever leur "dû" dans la chair, les tendons, et les os de l'infortuné... Et quand on voit l'effet d'une seule gouge d'une chaîne bien affûtée sur du bois, on se dit que chaque gouge compte...

'Tention, j'ai pas dit que pour des raisons de sécurité, il fallait passer toutes les machines avec des guides de 30 ou 35, hein...

J'espère que cette mauvaise expérience ne te persuadera pas que ces protections sont inutiles, mais bien du contraire...

Désolé pour les redites du dernier post, j'avais pas vu celui de Dom pas la peine...
Pour ce qui est des coupures juste derrière la coque, quelle est votre posture de travail? Coupez vous en bout de guide, pointé vers le bas?
Vinz37, tu appelles ça une erreur de jeunesse, quelle solution as tu trouvé pour éviter une telle situation? (je sais qu'une photo vaut mieux de longs discours, mais peut être que c'est facilement explicable en quelques mots...)

Tout ça évidemment pour éviter que les porteurs de Kox, ou autres chaussures ne se retrouvent à vivre la même mésaventure que toi ou Louis76...

Euh, au fait, la zone concernée par la coupure n'est elle pas celle ou se trouve la pliure de la chaussure? Si c'est bien le cas, ça offre un sacré challenge en matière de conception... Souplesse et solidité accrue...