C'est quand même marrant, dès qu'il s'agit de nous qui payons déjà des grosses charges, sommes formés puis reconnus pour notre sérieux par divers organismes d'état (onf, collectivités locales ...).

Alors voilà, du jour au lendemain, on ne sait plus travailler parce que les normes d'emplois ont changé!!!

On  a toujours tout fait dans le respect des règles de sécu et du végétal et on nous met des bâtons dans les roues : répression des inspecteurs du travail, des armées entières paraît-il.

Il est vrai que les charges sont tellement lourdes que lorsque l'on a pas le choix pour des petits chantiers, on peut être amener à travailler seuls. Mais c'est parfois ce qui nous apporte le plus de maturité en sachant que si l'on ne pense pas sécu son chantier la sanction peut être fatale. Je doute fort qu'une équipe de 10 jambons sur un chantier à part brasser de l'air et s'agiter puisse faire mieux.

Mais y contrôlent qui les gros nez, quand des manouches se balladent à la belle saison dans des camionnettes avec des pub élagage abattage, une grande échelle et massacrent des arbres.

wouais, c'est vrai j'fais du délit de sale gueule mais c'est du vécu. Bon d'un autre côté ils sont au moins 2 donc ils sont à jour sur la sécurité (entreprise familiale).

Moralité, plus on respecte les lois, plus on nous tond comme  des moutons et plus les tentatives d'intimidations s'exercent.

Pour notre sécurité qu'ils disent, y zont sortis le même discours pour justifier les radars sur les routes à part que nos radars s'appellent inspecteurs du travail mais c'est très souvent dans les grosses boîtes où l'on met la pression aux employés pour aller vite qu'il se produit des fautes de sécurité (surmenage, pression mauvaise ambiance petit salaires) . Et là, bizzarement, on ne les verra pas non plus.

Y'en a marre, rencontrons-nous unissons nous, sinon si l'on veut continuer, y'aura plus qu'a émigrer, ce ne sont pas des figures de fesse endimanchés qui vont nous donner des leçons.
L'école maternelle et les bon points, c'est fini.

C'est le début de la privation de nos libertés.