salut l ami a oui pour l adresse surtout si il y a un site pour voir , comme cela marche merci a bientot

En parlant du débardage aérien dans les pyrénnées, (je parle des hautes pyrénnées car j'y habite une partie de l'année), ce qui m'emmerde avec c'est que ça a poussé les exploitants forestiers et notre bonne ONF a prélevé tous les gros sapins, hêtres et frênes des vallées, bref tout ce que les anciens ont entretenus pendant des centaines années, a été bousillé en 30 ans laissant derrière des forêts pas si bien gérée que ça et privés de leurs arbres mères. Bref si on était resté dans le traditionnel (mules, ânes) dans ces régions on pourrait encore se balader dans de somptueuses forêts, mais voilà, 500 ans d'histoire parti en fumée.

Je travaille uniquement avec débardeurs à cheval (pour de la grume) dans ma région vu la taille des chantiers et putain qu'est ce que c'est agréable de voir qu'après leur passage tout est nickel, juste quelques toutes petites pousses écrasées. Quand je fais mon bois de chauffage, je le fends au merlan dans les bois (déjà c'est le plaisir d'être dans les bois seul et tranquille), puis je sors en bord de route avec deux gros ânes. Je sors même les fagots que j'évite de brûler en forêt, je les vends à un mec qui fait de la plaquette et le reste à des clients pour allumer leur feu. Je m'y retrouve temps rentabilité car les frais de l'âne quasi nul compense les frais d'engins. Bon je suis pas riche mais j'ai de quoi vivre. Il faut dire que je suis à mon compte, que je ne travaille pas pour des exploitants forestiers et que je n'ai pas de salarié (c'est malheureux mais ça me reviendrait trop cher avec cette méthode de travail)

Ce reportage est magnifique, merci de le faire partager.

Dernière modification par Thamar (23-05-2009 08:47:20)

a mon avis la solution serais plutot de laisser gerer les chantiers de cablages par les cabliste eux memes, car une grosse partie des chantier de cablage en france s'apparente malheuresement plus a du folklore regionale avec une grosse medaille a la fin, sans aucune reele rentabilité en perspective, plutot qu'a un mode de debardage propre, productif et rentable avec un vraie avenir a court terme.
pour ma pars je trouve que les volumes a l'hectares proposer entre 50/60m3 ou meme 80m3 ne sufise pas, et ne permette pas de rentabiliser une ligne de cables dans des zone en pentues, le minimum serait entre 100/120m3 hectare, suivant les chantier.
tant qu'a faire, autant y allez pour y foutre une bonne rabotée, et on en parle plus.
n'oublions pas que cette activité doit etre avant tous rentable pour l'entreprise de cablage qui entreprend se chantier, et qui reste tous de meme le principale inrterresser dans l'affaire, c'est tous de meme elle qui va laissre sa sueur dans ces zones en pentes, pas toujours evidentes, on a l'air de trop souvent l'oblier.
pour ma part je suis partisan de creer un vrai recencement en colaboration avec plusieur organisme regionale privé et public, des coupes pouvant etre exploiter au cable, et situer dans des zones en pentes pas forcement montagneuse, mais avant tous rentable pour une entreprise de cablage.
personellement je trouve qu'en france toute la proffessions et completement impermeables a l'activité de cablage, seul quelques personnes, et je les en felicite vois un avenir a court terme dans ce mode d'exploitation.
a mediter...

pour resumé, oublions le folklore, donner nous + de bois a couper a l'hectare,dans des chantier a la monter, avec en plus de la place pour le telepherique, et de bon ancrages.

Dernière modification par zian74 (18-06-2009 00:47:51)

d"après un débardeur Belge ,tu doit faire gaffe si tu passes la frontière pour bosser dans les Ardennes Belge (il te conseil le tabouret a brettelles)   ,  il bosse avec deux trait ardennais ,et ils aiment bien les petit fransquillon         

Salut,


Juste un petit post pour dire que débardage par câble ça dépend se qu'on en fait. J'habite en Nouvelle-Zélande et c'est ici une méthode extrêmement rependue (et quand je dis "extrêmement" c'est "extrêmement") et le résultat est juste dégeulasse (et quand je dis dégeulasse...)
Le mât est installé au sommet des collines et c'est absolument tout qu'y passe.

Il me semble que les skidders à treuil sont un bon compromis entre le respect des sols et les réalités économiques.

stephane le grimpeur a écrit:

salut et oui il faudrait revenir a ce mode de travail , car un ingenieur a l onf c est a percu que l impact des tracteurs dans le bois , est tres nefaste.

hmmm... et vu que t'es dans une optique "c'était mieux avant" peut-êter que l'on devrait faire nos démontages à la scie à main 
En passant, les canadiens sont la pire des références en matière de gestion et dexploitation forestière.

zian 74 a écrit:

a mon avis la solution serais plutot de laisser gerer les chantiers de cablages par les cabliste eux memes

Tu veux dire que les exploitants décident de ce qu'ils prélèvent ??? Même pas en rêve...


Pour revenir au sujet initial, j'ai fait un chantier avec débardage par cheval et c'est vrai que c'est beau et impressionnant. Même moi qu'aime pas les animaux, ça m'a touché dans mon p'tit coeur...

jeremoi a écrit:

Salut,


Juste un petit post pour dire que débardage par câble ça dépend se qu'on en fait. J'habite en Nouvelle-Zélande et c'est ici une méthode extrêmement rependue (et quand je dis "extrêmement" c'est "extrêmement") et le résultat est juste dégeulasse (et quand je dis dégeulasse...)
Le mât est installé au sommet des collines et c'est absolument tout qu'y passe.
....

en fait ,c'est pas imputable au mat câble,mais plutôt a la gestion

pour avoir vu une exploitation en futaille irrégulière ,dans les Pyrénées,cheval et mat câble,les chevaux apportant les grumes "a maturité" sous le câble

avantage;ils ont pu exploiter bien plus haut que le tracteur
              toute des grume de grande qualité