C'est marrant, un de mes collègues s'est aussi mis à l'élagage "pour la sécurité"... Un ancien du secours en montagne (PGHM), qui a aussi été aspirant guide de haute montagne...

Donc, si je résume à ce que j'en connais, dans ce métier, on retrouve au choix :
- Des anciens secouristes montagne
- Des anciens plongeurs démineurs
- Des anciens de l'aviation de chasse
- Mais pas que...

Bref, ça reste typé "risqué" quand même... Si je me fie à ma propre expérience, et aux propos que mon collègue et Vertical Work tiennent, ainsi que Mola Mola, je dirais que le risque en élagage est aussi bien, ou mieux maîtrisé que dans les professions précédemment exercées... Quand les règles de sécurité sont respectées...

Je pense qu'il est difficile de dire "tel métier est plus risqué que tel autre"... En revanche, avec un peu de bon sens, on peut dire "tel métier est un métier à risque". Je pense aussi que cette notion est à détacher de l’occurrence des accidents, qui devrait être comparée à la probabilité que ceux-ci arrivent... Mais là, ça devient compliqué...!

Pino a écrit:

C'est marrant, un de mes collègues s'est aussi mis à l'élagage "pour la sécurité"... Un ancien du secours en montagne (PGHM), qui a aussi été aspirant guide de haute montagne...

Donc, si je résume à ce que j'en connais, dans ce métier, on retrouve au choix :
- Des anciens secouristes montagne
- Des anciens plongeurs démineurs
- Des anciens de l'aviation de chasse
- Mais pas que...

Bref, ça reste typé "risqué" quand même... Si je me fie à ma propre expérience, et aux propos que mon collègue et Vertical Work tiennent, ainsi que Mola Mola, je dirais que le risque en élagage est aussi bien, ou mieux maîtrisé que dans les professions précédemment exercées... Quand les règles de sécurité sont respectées...

Je pense qu'il est difficile de dire "tel métier est plus risqué que tel autre"... En revanche, avec un peu de bon sens, on peut dire "tel métier est un métier à risque". Je pense aussi que cette notion est à détacher de l’occurrence des accidents, qui devrait être comparée à la probabilité que ceux-ci arrivent... Mais là, ça devient compliqué...!

faut pas oublier les anciens marins-pêcheurs !

donc , on est d'accord pour dire qu'on fait un métier à risque ; mais si on le fait , c'est d'abord par
passion , par défi , pour la beauté du geste et " l'inaccessible étoile " . En haut des cîmes , telle est ma quête !

Ensuite , la MSA peut nous aider dans la démarche prévention , le doc unique , etc ...

les liens d'Anatole sont très intéressants !

Je dirais que "le risque , c'est le revers de la liberté " ; le prix à payer . À nous d'avoir le bon sens paysan , garder "les pieds sur l'arbre et la tête dans les étoiles" ;

Et après tout dépend des critères de risque pris en compte !
Je pense que beaucoup de profession sont plus stressées que nous ,quand on voit l'explosion du nombre de sucides à la poste ou dans la police !

Le bien -être au travail est une notion essentielle !

MOLAMOLA a écrit:

Je pense que le risque est mieux maitriser en élagage (spécialiste avéré en élagage) que dans des métiers comme la couverture ou la charpente.J'entend autour de moi plus parler de crashs dans ces professions (ils sont aussi beaucoup plus nombreux) et j'avouerai parfois voir des charpentiers dans des postures que je n'imaginerai même pas prendre; sorti de mon harnais, j'ai une frousse bleue du vide.

Mieux maîtrisé, car meilleure prise en compte des mesures de prévention...?