Abattage.
La forme tubulaire du tronc est maintenant éventrée sur 50%. Il restera dans un avenir proche seulement entre 1/4 et  1/3 de la circonférence active et susceptible de suivre le rejet dans sa croissance. Avec un tel bras de levier et un ancrage aussi "plat", le rejet ne pourra pas tenir.

Ou laisser le tronc au niveau du rejet et trouver un bon sculpteur de bois.

Il faudrait plutôt un bon graveur sur bois, vu qu'il ne reste quasi plus de bois solide.

Tu as coupé le tronc à 50 cm du sol et tu as mis un pot de fleurs dessus ... non ???

Pas dessus, mais dedans ! Dans l'état où il est, on ne peut en faire qu'un cache-pot ! 

Dans le cas d'une reprise en cépée, est-ce que les rejets auront le temps de s'affranchir et de faire  des systèmes racinaires individuels sur 360°. Le coeur de la souche ne doit plus exister à priori, l'assise mécanique de chacun des rejets va être déplorable. Cela me rappelle une cépée d'aulne qui s'est ouverte en fleur à cause de la disparition de la souche d'origine. Chaque rejet était branché sur une des racines d'origine, mais sans plus. Pas de haubanage racinaire ni d’appuis solide côté souche: ça bascule.

Le viok, tu n'as quand même pas redressé la partie arrachée et boulonné les deux morceaux ensemble ?

ce qui m'ennuie dans ta réponse marc antoine, c'est que tu affirmes l'évolution de cet arbre suivant les solutions envisagées d'après le constat de son état sanitaire.......même si tes constatations sont bonnes, tu ne peux affirmer la façon dont il va réagir.......à moins d'avoir une boule de cristal......il reste un être vivant et la nature nous montre sans arrêt qu'elle est capable de s'adapter à des situations nous paraissant désespérées..........

Marc-Antoine a écrit:

Abattage.
La forme tubulaire du tronc est maintenant éventrée sur 50%. Il restera dans un avenir proche seulement entre 1/4 et  1/3 de la circonférence active et susceptible de suivre le rejet dans sa croissance. Avec un tel bras de levier et un ancrage aussi "plat", le rejet ne pourra pas tenir.

Ou laisser le tronc au niveau du rejet et trouver un bon sculpteur de bois.

Il faudrait plutôt un bon graveur sur bois, vu qu'il ne reste quasi plus de bois solide.

Tu as coupé le tronc à 50 cm du sol et tu as mis un pot de fleurs dessus ... non ???

Pas dessus, mais dedans ! Dans l'état où il est, on ne peut en faire qu'un cache-pot ! 

Dans le cas d'une reprise en cépée, est-ce que les rejets auront le temps de s'affranchir et de faire  des systèmes racinaires individuels sur 360°. Le coeur de la souche ne doit plus exister à priori, l'assise mécanique de chacun des rejets va être déplorable. Cela me rappelle une cépée d'aulne qui s'est ouverte en fleur à cause de la disparition de la souche d'origine. Chaque rejet était branché sur une des racines d'origine, mais sans plus. Pas de haubanage racinaire ni d’appuis solide côté souche: ça bascule.

Le viok, tu n'as quand même pas redressé la partie arrachée et boulonné les deux morceaux ensemble ?

ça a au moins le merite d' etre un travail propre et puis honnetement ,il y aura pas mort d' hommes.
et puis maintenant ils peuvent mettre un panneau sous l' arbre avec marqué le viock (je parle de l' arbre)
- quand on y pense c' est pas parce que un vieux boite qu 'on lui coupe la jambe (c' est un peu comme les cheveux gris)
salutation

il avait visiblement bien compartimenté ...à quel champi a t il eu affaire ?

t'as pas de la rouge cubique sous l'axe résiduel ? à cet endroit là la pourriture a été invasive

le viok a écrit:

Imais si j'ai l'occase j'irais regarder à nouveau
avec un autre oeil,des fois çà le fait...........

Si t'as besoin, y'a qu mes oreilles que je prêtent pas , elles fonctionnent mal