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Olivier
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Résumé de la discussion (messages les plus récents en premier)
- soldat louis
- 14-01-2019 13:05:36
Oui c'est mieux comme cela.
Maintenant est ce que la grive n'aime pas les platanes, ou est ce que ces derniers opposent une barrière chimique comme le chêne???
- le viok
- 14-01-2019 06:46:57
Le gui n'aime pas tous les arbres et pour une fois c'est cool....... 
- Mat la démat
- 13-01-2019 20:55:43
Petite question supplémentaire du coup.
Pourquoi le gui n'affecte pas les platanes sachant que les oiseaux les aiment également?
- Marc-Antoine
- 24-11-2009 12:16:36
Quelques infos à prendre :
http://www.futura-sciences.com/fr/doc/t … c3/221/p3/
http://www.futura-sciences.com/fr/doc/t … c3/221/p7/
Un article apportant une compilation de beaucoup de réponses, précisions et nuances aux questions que je me posais sur le gui.
http://www.foretwallonne.be/031pdf.fold … gui%5D.pdf
Pour aller plus loin : mode de pompage du gui sur le système vasculaire de l'arbre: le gui se met carrément en perfusion sur le xylème, avec un raccordement direct de ses vaisseaux sur les vaisseaux du bois: 
pages 77 à 79
http://books.google.fr/books?id=FuKDzx- … mp;f=false
- anar
- 24-11-2009 09:43:43
Il me semble que le gui est capable de se propager sans intervention externe (oiseau).
Il suffit qu'une graine tombe sur une branche plus bas pour s'y coller et démarrer une nouvelle boule.
Certes de cette manière il ne va pas bien loin mais se propage sur le même arbre (ou un autre situé en dessous).
Par le biais des oiseaux il est capable de se propager beaucoup plus loin...
Mais attention !
Je suis néophyte et tout cela mérite d'être vérifié.
Ne le prenez pas comme argent comptant !
- apex
- 24-11-2009 01:49:21
je suis un peu d'accord avec Bernabe
si tu recèpe le gui ,tu lui inflige donc un stress,il va profité de son système racinaire entier pour produire ,rapidement ,du bois etc.. et la pression exercée sur l'arbre sera sans doute la même ,voir pire
face au gui ,j'ai l'impression que l'arbre ne se défend pas ,
on voit peu ou pas de réitération de remplacement sur les branches colonisées ,pas de suppression rapide de l'axe
serait il anesthésié ? ou bluffé
Le gui est une plante dioïque, donc il faut qu'il y ai un plant mâle et une plante femelle qui vivent sur l'arbre ,avant que l'on puisse parler de danger( pour l'arbre )ce qui explique également ca rareté relative
- Marc-Antoine
- 23-11-2009 22:16:29
bernabe a écrit:
Marc-Antoine a écrit:
Ce que je ferais, c'est de couper les petites branches et rameaux porteurs de gui, à l'échenilloir par exemple.
Salut
Il y a une question que je me pose avec cette technique ( que j'ai déjà pratiqué )
on sait que le gui est une plante hémiparasite donc il produit une patie de sa nouriture et prend le reste à son hote.
Le fait de le tailler ne va t il pas augmenter la pression qu'il fait subir a son hote afin de se reconstruire ( ? )
Simple supposition bien entendu
En coupant le rameau ou la branche, le pied de gui est totalement supprimé ( dans la mesure où il n'a pas encore poussé l'exploration au delà de la jonction avec l'axe porteur).
Donc cela s'arrête là, et l'arbre se retrouve seulement avec une blessure à recouvrir, comme il sait le faire.
Si on casse la touffe de gui, sans toucher à la branche, il va rester la "souche" du gui avec son réseau complexe de suçoirs plantés dans l'aubier et de "rhizomes" infiltrés dans le phloème ( ce n'est probablement pas le terme correct, mais je n'en vois pas d'autre à l'instant).
Au même titre qu'un recépage pour un arbre, cela conduit le pied de gui à une réduction drastique de son stock de réserves ainsi que de son potentiel de croissance. La souche du gui va chercher à mettre en place un maximum de rejets pour se refaire, mais en attendant que la partie aérienne redevienne conséquente, le développement du pied et son pompage de l'hôte sont forcément fortement réduits.
C'est une plante organisée comme les autres, même si elle est un peu bizarre.
- vinz93
- 23-11-2009 21:49:52
En verger, le round up appliqué avec un fin pinceau donne des résultats (lutte raisonnée) contre le gui...
Le produit est appliqué avant le débourrement de l'arbre hote.
- bernabe
- 23-11-2009 21:00:36
Marc-Antoine a écrit:
Ce que je ferais, c'est de couper les petites branches et rameaux porteurs de gui, à l'échenilloir par exemple.
Salut
Il y a une question que je me pose avec cette technique ( que j'ai déjà pratiqué )
on sait que le gui est une plante hémiparasite donc il produit une patie de sa nouriture et prend le reste à son hote.
Le fait de le tailler ne va t il pas augmenter la pression qu'il fait subir a son hote afin de se reconstruire ( ? )
Simple supposition bien entendu 
- 20100
- 23-11-2009 19:36:46
j'ai lu dernièrement les 2 n° de la hulotte qui traite du gui
je crois bien que tout cela est pas faux
le gui peut ce coller sur l'arbre par chute de la graine
ou voyager par l'estomac des oiseaux
et quand il est bien installé
au bout de plusieurs année
il développe des "reseaux racinaire" de par et d'autre de son insertion dans l'écorce
c'est pour cela que même si on le coupe
il repousse
- anar
- 23-11-2009 17:50:20
Il me semble que le gui est capable de se propager sans intervention externe (oiseau).
Il suffit qu'une graine tombe sur une branche plus bas pour s'y coller et démarrer une nouvelle boule.
Certes de cette manière il ne va pas bien loin mais se propage sur le même arbre (ou un autre situé en dessous).
Par le biais des oiseaux il est capable de se propager beaucoup plus loin...
Mais attention !
Je suis néophyte et tout cela mérite d'être vérifié.
Ne le prenez pas comme argent comptant !
- apex
- 23-11-2009 14:13:28
en fait le gui est tout a fait capable de germer sans passer par le tube digestif de quelconque animal
c'était une petite expérience personnelle,au printemps,50% de germination au collet d'un yucca , le plus curieux,c'est qu'il ne s'étaient pas fixé sur le bois(le yucca ne devait pas convenir) mais avaient apparemment leurs propre système racinaire
au bout de deux ans ,aucun n"a survécu
