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OléiculteurCiviculteur
23-09-2009 21:30:48

Tiens donc

Ce n’est pas pile poil le sujet

Petites remarques visuelles, est constatations pas que personnelles, des chercheurs travaillent actuellement sur ce sujet.

« Un/des » pins maritimes, ou similaires ayant ces branches « initiales » bases ; résistent plus au vent, et dévie celui-ci, sans souci.

Ces branches sont plus lourdes à volume égal que toutes les autres,

Ces branches font et son l’équilibre du pin,

Ces branches ont une vivacité est une longévité impressionnante,

Ces branches ont un désaxage de l’axe du bois

Les aiguilles de pins de ces branches sont plus lourdes et différentes des autres,

La forme des ces arbres est plus adaptée a la force des vents, même en pente,

Auriez vous fait des constations similaires ?

Les pins qui sont encerclées n’on pas ces branches et ils doivent chercher la lumière des cimes.

Maintenant quelle est la distance de plantation raisonnable ? ?

La différence entre les deux pins, elle est simple, l’un case des 140 Km/ Heure,
L’autre se frotte à des rafales supérieures à 180 km  Heure en toute tranquillité ?

La résonance la dedans, elle aussi joue un rôle essentiel, elle n’est pas la même, et il en est de même sur les oliviers sauvages.

Les tests ne sont pas réalisés sur un arbre mais des centaines.

Maintenant enlever le bois mort, « C’est très facile » si l’on veut chacun est libre chez soit
Si c’est l’arbre qui le fait, il a le temps de compenser, mais sa cicatrisation n’est souvent pas terrible, il y a un moment précis ou le professionnel sait ou il est judicieux de la faire en respectant les bourrelets et autres techniques que la pratique améliore
Si nous élaguons judicieusement, le professionnel, avec du doigté « c’est » ou arrive à compenser.
Mais enlever des branches pour les enlever, pour passer, pour je ne sais quoi, c’est une toute autre histoire.
Hélas tout le monde est pressé ?

Je viens de constater un massacre a la tronçonneuse sur des oliviers de plus de 300 ans, et maintenant l’on appelé !

« Mouais » pour rester poli

Je suis triste 380 Oliviers, 12 700 pins a cause d’une bestiole qui a profité de l’occasion help

Lelphe (FIN)
23-09-2009 09:29:46

Marc-Antoine a écrit:

Le phénomène de la résonance sonore fut observé pour la première fois à Montréal le 5 novembre 1992 par Jocelyn Demers.

Google, c'est bien et ça ramène des tas de trucs, mais il faut trier. fouet
En l'occurence, ce n'est pas vraiment pertinent dans le sujet qui nous intéresse, puisqu'il s'agit de travaux sur l'influence des sons en neurologie / psychologie.

La résonance est un phénomène physique connu, subi ou exploité depuis fort longtemps. Tous les instruments de musique sont basés dessus, ça ne date pas de 1992 !
La simple balançoire est mise en action par résonance.
Le laser est créé par une résonance lumineuse. Le pot de détente d'un moteur deux temps engendre une véritable soupape d'échappement sonique.
Les ingénieurs de très nombreuses disciplines ( mécanique, bâtiment, pont, communication, électronique, acoustique, physique atomique, optique, dynamique des fluides...) doivent se battre avec pour l'éviter ou au contraire pour l'apprivoiser et en tirer le meilleur parti.


Le bois mort est raide et cassant. C'est le plus susceptible de lâcher lors des oscillations.

Le bois "vivant" (duramen et aubier) est gorgé d'eau et reste souple. Souplesse relative selon les espèces bien sûr. Cette souplesse lui permet d'esquiver une partie des contraintes et de dissiper l'énergie qui lui est apportée.

Il est très difficile de casser un baliveau vivant par secouage alors que c'est assez facile quand il est sec.

Le principal problème d'une structure vivante (arbre, branche ...) vis à vis du vent est que l'énorme surface foliaire fait office de voile et engendre une contrainte largement supérieure à celle subie par une même structure morte, dépouillée de ses feuilles et de ses rameaux.
Mais là où le vivant reprend l'avantage, c'est dans sa capacité de justement dissiper une grande quantité d'énergie en amortissant les mouvements. Il est composé d'un nombre gigantesque d'éléments ayant des caractéristiques différentes et qui absorbent chacun leur part d'énergie. Il est impossible de trouver une fréquence de sollicitation qui fasse entrer en résonance l'ensemble. Les feuilles amortissent les mouvements du rameau, les rameaux amortissent les mouvements de la branche, les branches amortissent les mouvements du tronc.
Comme l'énergie est dissipée au fur et à mesure de son arrivée, les oscillations ne peuvent pas être amplifiées par le phénomène de résonance. Les mouvements de flexion restent dans les limites de sécurité et il n'y a pas de rupture.
Sauf force brute.

Une structure morte est très simplifiée, donc il est plus facile de trouver une fréquence de sollicitation qui concerne l'ensemble. Comme le bois sec a un pouvoir d'amortissement réduit, l'énergie reste, s'accumule et les oscillations augmentent jusqu'à la rupture.


Dans le cas du pin, la coupe du bois mort modifie les caractéristiques de l'arbre entier puisqu'il y a une perte de masse et de sa structure. L'arbre répond forcément différemment aux sollicitations.
Je conçois qu'une petite branche vivante entourée par un lacis de branches et rameaux morts soit bridée dans ces mouvements, reportant sur les voisines les efforts exercés sur elle, comme le fait un arbre tuteuré. Le bois mis en place est prévu pour résister à ces contraintes amoindries, mais sera trop faible quand tout le lacis sera enlevé.
ça, d'accord.
Mais je ne comprends pas comment la perte des gros bois morts entrainerait la rupture des charpentières vivantes, puisque la plus part du temps il n'y a pas de contact entre eux, donc pas de bridage.
Hein

très interessant et bien énoncé Marc Antoine, merci

Pour la résonance, que proposes tu ? comment interpréter cet effet sur les arbres ?

, POur moi, la résonnance telle que décrite plus haut est un phénomène physique naturel qu'on ne peut nier en toute rigueur scientifique dans le domaine de la physique. Donc il est actif aussi sur les arbres mais à un point jugé tellement minime qu'il n'est pas pris en compte lors d'une expertise mécanique, imaginez donc lire cela : "arbre ayant beaucoup de bois mort supprimé, danger de rupture par phénomène d'oscillation..." ou '"les nombreuses suppression de bois mort ont induit un risque  de rupture aux branches vivantes... ça sonne pas tres crédible... Mais nous utilisons les propriétés de résonnance du bois pour mesurer sa capacité à transmettre le son. On utilise alors le marteau à onde sonore .

Arboricolement votre
22-09-2009 10:42:04

Ok Lelphe, confusion pour le terme plagiotrope qui s'applique plutôt au mode de croissance des végétaux (mode architectural), autant pour moi...

Je n'aurai pas du adapter ce terme dans ces circonstances. Mais ce terme veut quand même dire que les branches s'insère sur le tronc de manière horizontale, non ?

Pour la résonance, que proposes tu ? comment interpréter cet effet sur les arbres ?

Merci

st20
21-09-2009 21:29:48

Et oui, les temps changent...Va falloir tirer sur les bras, Jack !

Lelphe (FIN)
21-09-2009 21:29:45

arboricolment vôtre a dit :

Mais bien sûr, tous les pins sont plagiotropes

???? , un terme d'architecture qui n'a rien à faire là et mal utilisé en +.... entre résonnance et plagiotrope ça fait un peu bcp pour des termes scientifiques bien définis et précis . Si chacun réinterprête les termes à sa manière, on s'oriente vers des non sens , des contraires bref du n'importe quoi, vlà maintenant qu'il faut redéfinir le terme "plagiotrope"  BouletOr .....

jack l'ehouppeur
21-09-2009 21:21:41

moi qui pensait que foutre une branlée a un arbre lui etait benefique, je suis surpris...pourtant on en voit partout, c est que c est bon, non? dommage, j aimais bien la taille aux griffes...  sad

st20
21-09-2009 21:13:57

Exact, à nous de leur faire remarquer, j'hésite de moins en moins à dire que tel arbre a été massacré !
Discussion qui revient à la question des arbres fragiles, en fait, tous, sont pas si fragile que ça si on leur fout la paix, chez nous, c'est les eucas qui reçoivent, arbre fragile dit on, tu parles, rabattus certains depuis une 100aine d'année, tu m'étonnes qu'ils cassent !
Y a du boulot et du blah blah en perspective !

Arboricolement votre
21-09-2009 20:53:16

J'avoue il y a de magnifiques pins dont les charpentes sont interminables.

Dans tous les cas, ces ruptures sont bien souvent la cause de certaines tailles drastiques, et quand les propriétaires d'arbres s'en rendront compte, notre métier ne sera que mieux félicité.

st20
21-09-2009 20:48:11

ouais, ça fait peur, quand je débutais, à chaque tempête, j'allais voir les arbres que j'avais taillé et que j'avais dit qu'ils risquaient rien et quand je les voyais bouger, mon dieu, j'étais mort de trouille. Maintenant, je dis plus rien, comme ça, je peut les observer plus sereinement...

Mode lourd : charpentière de 10 m pas exceptionnel du tout sur pinea

Arboricolement votre
21-09-2009 20:37:20

Mais bien sûr, tous les pins sont plagiotropes. En revanche leur port est plus élancé que celui des cèdres et autres cyprès (eux sont plus trapus).

J'en reviens à mes effets de résonance : ils sont plus prononcés sur des charpentières de 10 mètres de long toutes déplumées, que sur des pins dont les charpentes de 5 mètres où l'on a otés deux trois chicots.

Sinon st20, je me régale de voir les arbres balancer lors des grosses tempêtes, on se sent petit...

st20
21-09-2009 20:31:10

Ah, cèdre et cyprès, je passe, mis à part quelques cupressus sempervirens, sinon, pour les branches horizontales, les pinus pinea en ont aussi...

Arboricolement votre
21-09-2009 20:17:24

Je ressitue,

Les ruptures de branches dont je parle sont observées sur des cèdres et des cyprès. Ces deux espèces ont des charpentières qui s'étalent horizontalement, du moins, beaucoup plus que les pins.

Les gars de la côte peuvent ils confirmer cela ?

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